Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban
Harry Potter, il n'aime tellement pas son tonton et sa tata qu'il préfère risquer sa vie et retourner à Poudlard.
Harry, il est vénère. 13 ans que sa famille adoptive le gonfle, alors, quand la vieille tante débarque, il la tranforme façon ballon de baudruche et fuit dans la nuit. Parce que c'est pas bien de pratiquer la magie en dehors de l'école et que tous les moldus ont dû voir la tatie volante (après la bagnole, la vieille folle !), il est désespéré. Il est sûr d'être viré, mais c'est sans compter sa renommée : le ministre Cornelius Fudge l'accueil en personne au bar (bah oui, Harry allait se réfugier dans un bar) et le rassure : il pourra affronter une nouvelle année sans s'inquiéter.
Et en même temps que tout ça, ya un très vilain méchant qui s'est enfuit d'Azkaban. C'est lui qui aurait révélé la planque des parents Potter à Voldemort, et manque de bol, c'est le parrain de Harry. Alors Harry, il est encore plus vénère.
Et puis il y a aussi un nouveau prof de défense contre les forces du mal, Lupin, un gars un peu rabougri qui était pote avec Papa Potter. Nous, les lecteurs, on n'est pas con : rien qu'à son nom on a deviné que c'était un loup-garou. Et c'était le pote du méchant parrain, Sirius Black.
Blablabla... il se passe pas grand chose d'autre : les cours sont supers, Hagrid file des cours de soin aux créatures magiques (faut pas croire que les animaux suivent des cours, hein !) mais son premier spécimen est condamné à mort, les élèves peuvent enfin aller à Pré-au-Lard après 2 ans d'abstinence, un village exclusivement sorcier près de l'école, une maison très hantée les intrigue, et le rat de Ron est patraque.
Bref, à la fin, on apprend que Sirius est sympa, que Lupin est sympa, que Rogue ne l'est pas (mais il a ses raisons), que son papa et son parrain se changeaient en animaux super impressionnants (un clebs et un cerf), et que c'est le rat de Ron qui a trahi les parents Potter. Harry, il est enfin content, car il a un parrain qui est pourchassé par la police, et ça, c'est cool.