Quinzaine nippone - Jour 11
Bon, alors, maintenant, je vais l'appeler la quinzaine frippone !
Aujourd'hui, je vais vous parler de bukake Shibari ou kinbaku (ouai, c'est pas mieux, mais le premier, ça craint vraiment !). Il s'agit d'une pratique ancestrale japonaise... le bondage. (quoi ! hein ! Mais Emma, ça va pas la tête ! tu ne parles plus que de sexe ici ! Oui, mais que voulez-vous, j'ai plus trop le temps de lire, alors ça cogite beaucoup sous les coups de rouleau !)
Comme vous devez vous en douter, cet art du saucissonnage relève d'une passion pour le sadomasochisme (ceux qui s'offusqueront de ce que je viens de dire n'auront pas compris grand chose au principe).
Pourquoi ça s'appelle Shibari ? Parce que ça signignie "ficeler un colis". C'est ancestrale, car c'est comme ça que l'on tenait captifs les ennemis, ou que l'on punissait ceux qui avaient été très vilains. Souvenez-vous, vous l'avez sûrement vu ici :
Et les Japonais, comme ils ne font pas les choses à moitié, ils en ont fait un art martial ! oui ! oui ! Là, comprenez qu'on en est pas encore arrivé aux perversions sexuelles. Pour l'instant, il ne s'agit que d'entraves... C'est seulement lorsque cela a été interdit par le gouvernement pour les militaires que ça a été pris d'assaut par les amateurs.
On ligote la "victime" dans des positions différentes, de la plus simple (poignets attachés dans le dos), à la plus élaborée, quand elle est totalement immobilisée.
Ils ont trouvé comme excuse pour qu'elle soit nue que les vêtements, ça ferait des plis, et donc que ça fait mal. Car la ou le soumis peut rester plusieurs heures ligoté...
Pour vous mesdames...