Tout ça, c'est la faute aux satellites russes... 2

 

Cette fois-ci, le satellite s'est écrasé aux Pays-Bas. Une boue verte qui en coule contamine la population, transformant la plupart des gens en zombies. Un employé de bureau, accompagné par son frère encombrant et des racailles de pacotille, va devoir traverser toute la ville pour aller sauver sa presque petite-amie collègue.

Comment dire... ce n'est peut-être pas le meilleur film de zombies, mais il a au moins l'avantage de faire rire. Le scénario fait penser à mélange d'Infestation (le film avec des insectes géants à l'intérieur) et Shaun of the Dead, le frère du héros est la copie conforme du pote de Shaun, et les clins d'oeil aux comédies du genre sont nombreux : comme le moment où les survivants sont coincés au sommet d'un manège dans un jardin d'enfants (qui m'a fait penser à Shaun en train de monter les trois marches du tobogan pour regarder par-delà les barrières), où les scènes de combat filmées de temps en temps en mode jeu vidéo (comme pour House of Dead ou Scott Pilgrim).

En ce qui concerne les zombies, rien à redire, ils sont rudement bien maquillés et les scènes de machouille assez gores sans être ridicules.

Bon, maintenant, ce n'est pas le film de l'année, les acteurs, même s'ils sont assez sympathiques, sont beaucoup trop caricaturaux et couillons pour que l'on s'y attache.

Mais la fin, oh oui ! La fin, a quand même réussi à m'arracher un éclat de rire pour conclure en beauté : c'est du n'importe nawak ce film ! Car à la fin (ne continuez pas si vous ne voulez pas être spoilés), après avoir démoli le portrait de pas mal de zombies, fait exploser le satellite cause de tous ces malheurs, et emballer la fliquette sexy, le héros se retrouve maintenant face à... des vampires.

Aller, je vous file la bande annonce au passage :

Le film, sorti le 17 avril dernier, est distribué par TF1.

Un grand merci à Cinétrafic, chez qui pourrez trouver d'autres films de zombie, ainsi que tous les films d’horreur de l’année 2013 !

Comments

[Acr0]

Bon faut que je le vois, celui-là !